◇ Arabella Banks ◇
Vedette et coqueluche de la télévision anglaise, elle est parvenue au fil des années à se hisser au rang de personnage phare et référence pour toutes les ménagères, jeunes femmes et adolescentes du pays. Icône de mode, beaucoup de tabloïds analysent et recommandent son style à leurs lectrices. Enfant de la télé, elle a littéralement grandi devant les caméras. En lui proposant le poste de présentatrice de Murder House, la production a souhaité en faire son atout glamour et la figure de proue du show télévisé.
« Je suis très excitée à l'idée de découvrir les résidents et de les voir évoluer au sein du manoir. J'en avais marre d'être une potiche à l'écran et je suis ravie de présenter cette émission qui est d'un nouveau genre, plus réfléchi, plus intelligent et plus sombre aussi »
Arabella Banks, à Vogue UK
◇ Neptune Jones ◇
Icône gay, animateur radio et dj à ses heures perdues, le 100% british que l'on surnomme affectueusement « Jonesy » a su conquérir l’Angleterre avec son charisme ainsi que son adoration pour les réseaux sociaux et se voit ainsi être l’invité de certains shows télés. Toujours bien entouré, souvent par les plus grands, on peut dire qu’il a accepté l’aventure Murder House pour être aux côtés de sa grande amie, et colocataire, Arabella Banks.
« Après avoir été l'invité de plusieurs show télés, c'est à mon tour d'être de la partie ! L'aventure promet d'être forte en émotions, c'est du jamais vu question télé réalité et l'audimat risque d'être au rendez-vous. Je pense que oui, c'est une bonne entrée en matière pour être chroniqueur ! En espérant que les futurs candidats soient sexy... »
Neptune Jones, à Rolling Stones Magazine
◇ Yanis Bahri ◇
Street artist et photographe, diplômé de Saint Martins, le frenchie à l'accent dissimulé s'est retrouvé catapulté dans le monde de la téléréalité après quelques apparitions bien placées dans les hauts lieux londoniens. C'est la figure calme et posée au sourire sincère qui contrebalance l'exubérance du milieu. Ses talents d'analyste lui permettent de gérer avec un certain détachement la rubrique psychologique et comportementale chaque semaine.
« C’est pas commun un photographe chroniqueur de télé-réalité, mais je pense que les retombées sociales de cette émission seront importantes. On peut dire que c’est un complément de carrière, j’ai hâte de voir les candidats, capter leurs histoires, qui mérite réellement la rédemption ? »
Yanis Bahri, à GQ UK
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